Au jardin botte Annick

Hier, j’ai visité le jardin beau tannique de mon Réal. J’ai commencé par la rose raie, mais toutes les fleurs étaient en sève, lie sous la neige. C’est quand même lit vert en corps. Je me suis ensuite dirigé à l’insectarium où j’ai appris que le mâle six galles possède des seins balles, ces organes spéciaux de son abdomen qui produisent des sons en vibrant. Ce son, cessons, que nous entendons parfois près de ma raie. Un peu plus loin, des scores pions jouaient avec leurs dards en pointant leur queue vers une cible invisible.

En suite, je me suis dirigé au pavillon jappe aulnaie, réalisé par Hisato Hiraoka. Au cas où il ne le saurait pas, il est mieux de ne pas venir puisque le pavillon est ferme et, à ce temps si de l’année, on se heurte à une porte clause qui le stipule. Déçu, j’ai repris ma marche jusqu’au jardin des premières nations. Aucun amer Indien n’y était. Sur la pend carte, j’ai toute foi appris que l’abbé naquit d’une femme abénaquise. Après un crochet par l’arborectum où pousse des arbres à l’engrais naturel, je suis allé me raie chauffer dans les grandes serres. Las, j’ai été sûr, pris de voir, que certains bons ails pouvaient encore avoir des feuilles en hiver. J’ai croisé ensuite le fameux coussin de belle-mère que je souhaite toujours lui offrir. Allah fin, j’ai eu droit à une volée de papillons en liberté, mais je m’en suis sorti indemne.

Ravi de ma journée, j’ai repris le métro et l’autobuste.

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